Olivier Appert, président de l'Institut français de pétrole (IFP), a imputé l'envolée des prix non pas «à une absence de réserves, mais à une absence d'investissements sur l'ensemble de la chaîne pétrolière ainsi qu'aux problèmes géopolitiques». Le baril de pétrole pourrait atteindre les «250 voire 300 $US d'ici trois ou quatre ans», a-t-il estimé hier.
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